La nomination de Sébastien Lecornu comme Premier ministre marque un tournant politique qui pourrait avoir des répercussions positives pour la transition énergétique, et plus particulièrement pour le développement du solaire. Ancien secrétaire d’État à l’écologie (2017–2018), Sébastien Lecornu a été l’un des artisans du programme « Place au soleil », présenté en juin 2018 à Paris, qui visait à accélérer la filière photovoltaïque en France.
À l’époque, son discours avait frappé les esprits. Le jeune secrétaire d’État soulignait déjà que « le solaire tangente maintenant les prix du marché » et que les raccordements avaient doublé en un an. Il constatait que de grands groupes – EDF, Engie, Total, mais aussi des enseignes de la distribution comme Auchan ou Carrefour – s’engageaient massivement dans cette énergie. « Nous sommes à un moment passionnant, où les courbes se croisent », affirmait-il alors.
Une vision structurée de la transition énergétique
Sébastien Lecornu insistait sur trois axes essentiels : la compétitivité croissante du solaire, son rôle central dans la lutte contre le changement climatique, et son importance pour réduire la dépendance au nucléaire sans en nier le rôle dans la sécurité d’approvisionnement. Il défendait une vision pragmatique : accompagner la filière avec un soutien public ciblé (notamment pour les bâtiments, l’agrivoltaïsme ou les régions peu ensoleillées), tout en préparant son autonomie à moyen terme.
Le programme « Place au soleil » prévoyait notamment :
• l’accélération des appels d’offres photovoltaïques (+1 GW par an, soit 3 Md€ de soutien public annuel),
• la simplification réglementaire pour développer le solaire sur parkings et toitures,
• le renforcement de l’autoconsommation, y compris collective,
• la mise en avant de l’agrivoltaïsme et du solaire agricole,
• l’intégration du solaire dans les territoires et le patrimoine.
Une expertise précieuse pour l’avenir
Sept ans plus tard, cette expérience apparaît comme un atout politique majeur. Alors que la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) doit être révisée et que l’Europe pousse à une accélération massive des renouvelables, la présence à Matignon d’un Premier ministre qui connaît intimement les rouages de la filière est perçue comme une bonne nouvelle par les professionnels.
« Développer les énergies renouvelables, c’est le temps du comment plus que des objectifs », affirmait Sébastien Lecornu en 2018. Cette culture de l’exécution, du suivi et de l’évaluation, qu’il revendiquait déjà, pourrait guider son action à la tête du gouvernement.
Pour le secteur solaire, la nomination de Sébastien Lecornu ouvre une séquence prometteuse : celle d’un dialogue politique porté par un Premier ministre qui, bien avant d’arriver à Matignon, avait déjà fait du soleil une priorité.






Croisons les doigts, Une triple compétence, en effet Sébastien Lecornu a été successivement, sous les deux mandats d’Emmanuel Macron, secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire (2017-2018), ministre délégué en charge des collectivités territoriales (2018-2020); une double sensibilité aux EnR et aux collectivités territoriales de bon augure, sans compter sa 3ème expérience de ministre des Outre-mer (2020-2022), ou les EnR jouent un rôle majeur au niveau de l’énergie dans les territoires non connectés au réseau dans les Dom Tom…
Croisons les doigts, Une triple compétence, en effet Sébastien Lecornu a été successivement, sous les deux mandats d’Emmanuel Macron, secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire (2017-2018), ministre délégué en charge des collectivités territoriales (2018-2020); une double sensibilité aux EnR et aux collectivités territoriales de bon augure, sans compter sa 3ème expérience de ministre des Outre-mer (2020-2022), ou les EnR jouent un rôle majeur au niveau de l’énergie dans les territoires non connectés au réseau dans les Dom Tom…
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