Le solaire thermique sort de l’ombre dans le Journal des Énergies Renouvelables. Richard Loyen, délégué général d’Enerplan, en signe l’éditorial engagé: « Le sujet de la production d’électricité enfle en France le débat politique et médiatique. D’un côté, une minorité bruyante qui veut stopper toute installation de nouvelles capacités renouvelables ; de l’autre, celles et ceux qui défendent un mix électrique plus équilibré entre nucléaire et renouvelables. Les énergies renouvelables ont cela de spécifique que la transition n’est pas uniquement électrique. Il est donc essentiel, d’une part, de faire monter en puissance la production de chaleur renouvelable et de biogaz de l’autre. Le débat public ne peut se réduire à la composition du seul mix électrique, quand une grande partie de l’enjeu réside dans la décarbonation de la chaleur.
Nous devons donc inlassablement faire œuvre de pédagogie pour valoriser les solutions qui nous permettront de nous séparer des fossiles. C’est l’objet de ce numéro, avec un dossier spécial sur le solaire thermique autonome : préparer et animer le débat professionnel et auprès des parties prenantes. Un enjeu fort pour la concertation prochaine du décret sur la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), pour définir la stratégie de la filière, et pour la société : le solaire thermique doit sortir de l’ombre et le Plan national va y contribuer ! Passer d’un parc de 2 GW installés en 25 ans à 16 GW d’ici 10 ans, c’est l’objectif assigné à la filière, qui se prépare à ce changement de paradigme.
Encore inconnu, le sujet revient sur les agendas généraux de la chaleur solaire, comme à Bordeaux en juin. J’y ai lancé l’appel du 18 juin girondin, pour s’émanciper de l’énergie fossile grâce à la chaleur solaire, et redonner du sens aux objectifs de notre futur mix énergétique. Pour réussir, il faudra :
– La publication rapide de la PPE, qui officialisera les objectifs (6 TWh en 2030, 10 TWh en 2035), puis celle du plan d’action détaillant les actions pour les atteindre ;
– La visibilité sur les aides disponibles et sur la dotation du Fonds Chaleur en 2026 et au-delà ;
– La visibilité sur le coût du carbone, notamment sur l’impact de la mise en œuvre de l’ETS 2 (Emissions Trading System 2) dans les pays de l’UE en 2027 ;
– Un changement de paradigme au niveau national qui devra se traduire dans les aides régionales par une déclinaison des objectifs pour le solaire thermique et la mise en œuvre d’une stratégie industrielle.
Une planification par les collectivités locales permettant une sortie progressive de l’énergie fossile pour les réseaux de chaleur urbains, les bâtiments publics, les logements, les établissements de santé et les process industriels. Le solaire thermique collectif est prêt pour répondre à ces besoins avec des solutions durables, compétitives et éprouvées pour les besoins allant de 40 à 400 °C.
Bref, n’attendons pas la feuille de route officielle pour nous informer que le soleil sert les solutions de production de chaleur solaire de 40 à 400 °C, éprouvées et maîtrisées. »
Bonjour,
Il y a 25 ans, lors d’une rénovation complète d’une maison en région Ile de France, j’ai opté pour du solaire thermique plutôt que du photovoltaique.
J’en suis très contente. Amortissement en moins de 10 ans. Eau chaude de mars à novembre minimum presque sans appoint autre énergie (à ce jour cette année, zéro appoint). Bien sûr l’eau n’est pas à 62°C toute l’année mais en privatif, ce n’est pas un problème; c’est même moins dangereux avec les enfants.
Je reconnais que je mène une vie assez sobre.
J’essaie d’en parler régulièrement autour de moi mais avec peu de succès!
Bravo d’en exposer l’intérêt.
Avec mes salutations écologiques
Bonjour,
Il y a 25 ans, lors d’une rénovation complète d’une maison en région Ile de France, j’ai opté pour du solaire thermique plutôt que du photovoltaique.
J’en suis très contente. Amortissement en moins de 10 ans. Eau chaude de mars à novembre minimum presque sans appoint autre énergie (à ce jour cette année, zéro appoint). Bien sûr l’eau n’est pas à 62°C toute l’année mais en privatif, ce n’est pas un problème; c’est même moins dangereux avec les enfants.
Je reconnais que je mène une vie assez sobre.
J’essaie d’en parler régulièrement autour de moi mais avec peu de succès!
Bravo d’en exposer l’intérêt.
Avec mes salutations écologiques
Bonjour,
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J’en suis très contente. Amortissement en moins de 10 ans. Eau chaude de mars à novembre minimum presque sans appoint autre énergie (à ce jour cette année, zéro appoint). Bien sûr l’eau n’est pas à 62°C toute l’année mais en privatif, ce n’est pas un problème; c’est même moins dangereux avec les enfants.
Je reconnais que je mène une vie assez sobre.
J’essaie d’en parler régulièrement autour de moi mais avec peu de succès!
Bravo d’en exposer l’intérêt.
Avec mes salutations écologiques
Bonjour,
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J’en suis très contente. Amortissement en moins de 10 ans. Eau chaude de mars à novembre minimum presque sans appoint autre énergie (à ce jour cette année, zéro appoint). Bien sûr l’eau n’est pas à 62°C toute l’année mais en privatif, ce n’est pas un problème; c’est même moins dangereux avec les enfants.
Je reconnais que je mène une vie assez sobre.
J’essaie d’en parler régulièrement autour de moi mais avec peu de succès!
Bravo d’en exposer l’intérêt.
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J’en suis très contente. Amortissement en moins de 10 ans. Eau chaude de mars à novembre minimum presque sans appoint autre énergie (à ce jour cette année, zéro appoint). Bien sûr l’eau n’est pas à 62°C toute l’année mais en privatif, ce n’est pas un problème; c’est même moins dangereux avec les enfants.
Je reconnais que je mène une vie assez sobre.
J’essaie d’en parler régulièrement autour de moi mais avec peu de succès!
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